Hey, vous ! J’espère que avez profité de votre fin de semaine ! Il y a quelques temps, je vous avais présenté le défi top shape pour l’automne (qui, en passant, reprendra le 1er décembre avec le défi top shape pour Noël). Et bien, aujourd’hui, je voulais vous parler d’un autre défi santé qui a été créé par des gens de ma connaissance, et qui a su rallier bien des gens.
Il s’agit du défi des 100 miles, inspiré d’une activité qui se déroule dans les écoles primaires et secondaires aux États-Unis. L’objectif est donc de parcourir un minimum d’1 mile (1,6km) par jour durant 100 jours consécutifs, soit à la course à la marche, mais certaines autres disciplines sont acceptées.
Ça débute le 1er décembre. Pourquoi en hiver ? Avouez un peu que ça prend plus de courage pour aller prendre une marche dehors à -40°C, mais c’est exactement pour cette raison que ça se passe en hiver. Parfois, il faut savoir abandonner notre petit confort, non ?
Si je parcours 2 miles aujourd’hui, est-ce que je peux skipper ma marche du lendemain ? Pas du tout. Le défi mets l’accent sur la constance ! S’il y a un petit classement des gens ayant parcouru la plus grande distance pour la durée du défi, on doit quand même faire un mile à tous les jours.
Et si j’oublie de faire ma distance une journée ? Et bien, miracle qui n’existait pas à la première édition, on a le droit à deux journées « Spéciale gastro ». Pour compenser, on n’a qu’à se mettre à genoux, dire « Pardon Mononcle, je ne recommencerai plus » et reprendre ces journées à la fin du défi (100 miles en 100 jours, c’est la règle). Et si une troisième journée est manquée, on doit recommencer les 100 jours du début.
Hey, je veux m’inscrire ! Facile, rendez-vous sur le site internet du défi des 100 miles. Des coûts de 20$ sont demandés (15$ pour les membres Desjardins). D’accord, c’est pas donné, mais c’est pour une bonne cause. Et puis, rien ne vous empêche de participer au défi en compilant vous-même vos kilomètres, mais vous manquerez toutes les ressources d’encouragement (bien plus agréable en groupe que seul, avouez-le).
Je n’ai pas participé à la première édition et je l’ai regretté. L’an dernier, j’ai abandonné parce que, c’est vrai, ça se passe aussi durant le temps des fêtes. Qui dit fêtes dit famille, et j’admet ne pas avoir eu les encouragements nécessaire pour quitter la maison des grands-parents en après-midi et faire mon mile. Je réitère tout de même cette année, pleine de motivation !
Et puis, d’une façon ou d’une autre, l’important, c’est de bouger !